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J'en ai par dessus la tête
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11 octobre 2016

Vipéridés.

Je suis bannie  comprenez... je suis exclue d'un réseau social sans avoir été avertie de mon bannissement, et je me retrouve tout à coup devant une porte fermée.

Certes 2014 et 2015 ont été des années relativement sereines, je ne pouvais pas m'attendre à ce que 2016 reste  dans la cotinuité. Malheureusement, je croyais naivement que ce pourrait être encore mieux. Mais non ! cette fois un gros clash éclate. On ne sait ni d'où, ni pourquoi, ni comment. Tout semble calme mais le moindre faux pas est ravageur. 

On exige " qu'elles me le disent en face "
Puis-je me permettre d'affirmer que je ne dis rien devant et rien derrière, que je ne juge pas et que je ne désapprouve aucun mode de vie,  que rien ne me tombe sous la dent. 

Sachant que tout ce qui m'est reproché l'est sous couvert d'une certaine forme d'anonymat je cherche où est la franchise...

- d'une part si je n'ai rien à dire il est un peu difficile de dire en face ce que je n'ai pas à dire

- et d'autre part, à quel moment s'est-on adressé à moi en direct ?  J'ai écrit quelques lignes qui,  à ma connaissance, n'avaient rien d'outrageantes, loin de là. Elles auraient été fort mal comprises, voire je me serais mal exprimée. OK, mais à quel moment j'ai entendu dire que mon message pouvait être, ou était, interprété différemment ? Jamais. Vu les froideurs qui se sont installées, et à force de réflexion, j'ai pensé que ma façon de m'exprimer pouvait avoir êté mal prise. J'ai pris le problème de face et j'ai posé la question de savoir comment ledit message pouvait être reçu. 

La réponse a été assez directe, oui, c'est vrai. Je ne m'y suis pas opposée. Sur le coup, je ne l'avais même pas considérée comme véritablement sèche. Bien que je proposais un dialogue, un échange de point de vue sur la question, je n'ai pas eu l'occasion de m'expliquer ; on ne m'en a pas laissé le temps  Une colère sourde qui grondait a enflé, toujours sans que je n'en sache rien. Je ne souhaite pas du tout me présenter comme redresseuse de torts, mais je suis blessée qu'on me décrive comme fourbe à la langue fourchue. Je me permets seulement de me poser la question : de nous deux qui est la plus hypocrite ? 

Cultiver un jardin secret comme ce blog dans lequel je note mes pensées les plus intimes me relègue-t-il au rang de vipère baveuse ?

 

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