Tout s'explique.

J'ai confirmation qu'il s'est bien passé ce que je craignais. Il y a eu collusion entre F et G. Et allez donc, il n'y aura jamais de cesse.

J'apprends ainsi que ce qui nous est reproché c'est d'avoir osé envisager de partir chez F et que nous ne n'en avions pas le loisir parce que g' fêtera son anniversaire à cette date.

Ainsi, depuis les mois d'avril/mai nous avions prévenu G que nous partirions en lui donnant la date prévue de notre départ. Depuis tout ce temps, alors que d'invitation nous n'avions pas eu, G et bien évidemment G' ont fait tout un cinéma "dans notre dos" dont nous n'avons bien évidemment rien su. C'est ainsi que sans nous prévenir en aucune manière, ils ont osé nous faire venir chez eux pour nous allouer les reliefs de leur repas, et déclarent à qui veut bien les entendre que nous avons fichu la zizanie à l'anniversaire de g'.  Nous étions à mille lieues d'imaginer qu'un tel cataclysme bouleversait notre famille et nous sommes les tarés, pour reprendre leur expresssion ! Je constate par la même occasion que les personnes qui étaient au courant ont adopté la politique de l'autruche en attendant le résultat de notre ignorance des faits. J'ai beaucoup de mal à comprendre comment F a pu ne rien dire, soit à nous, soit à G lui-même.

Il n'est pas difficile de reconstituer le scénario : puisque scandaleusement nous avions envisagé de nous absenter et que malheureusement des problèmes divers et variés nous ont cloués à la  maison, alors nous allons payer très cher. Nous ne serons pas invités et puisque nous avons l'outrecuidance, dans l'ignorance dans laquelle on nous tient, de demander de quelle façon il nous est possible de remettre le présent d'anniversaire de g'... il n'y a aucune hésitation à avoir : la seule posibilité pour EUX consiste à nous jeter leurs restes de repas en signe de remerciement.

Non, G n'est ni peiné, ni attristé, il règle ses comptes sur des bases que lui seul connait. Il aurait pourtant été si facile, si simple, trop simple peut-être de nous dire, dès lors que nous avons parlé de cadeau pour g', "Il y a un petit problème à nos yeux ; ne deviez-vous pas être chez F là cette date ? Si ! et moi je ne suis pas d'accord". Le mieux aurait même été, que dès que nous avions signalé notre intention de nous absenter pour nous rendre chez F, G nous fasse savoir que pour lui c'était inadmissible. Mais non, rien. Ensuite alors que nous ignorons tout de cette affaire, on nous montre du doigt, on dit de nous que nous sommes "des personnes très consanguines mais qui adorent semer la zizanie pour l'anniversaire de g' "

Nous avons semé la zizanie ! Mais qu'avons-nous fait grand Dieu ?