Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
J'en ai par dessus la tête
J'en ai par dessus la tête
Publicité
Archives
27 juillet 2014

A propos du régime paléolithique.

Je ne suis pas une disciple de ce régime, néanmoins je m'en inspire dans le cadre de ma recherche de perte de poiods.

De quoi s'agit-il ? Je vais tracer ici les grandes lignes de cette nouvelle tendance.

Parmi nos ancêtres de l'ére paléolithique, il  semble  que certains étaient plus herbivores que carnivores. La chasse aurait été prédominante seulement dans les populations vivant en haute altitude. De plus, nos ancêtres, en comparaison avec nous, n'avaient pas la liberté de choisir ce qu'ils mangeaient. Ils prenaient ce qui était disponible et ceci variait énormément d'un endroit à l'autre et d'un moment à l'autre de l'année. Aussi, le fait que les chasseurs-cueilleurs menaient une vie très exigeante sur le plan de la dépense d'énergie et que la plupart des aliments sauvages ont une densité énergétique faible a probablement joué un rôle crucial dans la faible incidence des maladies de civilisation chez ce type de population.

En ce qui concerne les allégations quant aux bienfaits des fruits, des légumes et des oméga-3 contenus dans la diète paléolithique, elles sont reconnues et démontrées scientifiquement.

Par contre, pour ce qui est de l'apport très élevé en protéines maigres, bien qu'elles agissent sur la satiété, sur le métabolisme de l'insuline et sur la réduction du poids, nous n'en connaissons pas les impacts à long terme, notamment sur les fonctions rénales. On peut aussi se préoccuper des conséquences d'une diète sans fibres solubles (disponibles dans les céréales entières et les légumineuses), notamment sur la flore intestinale. Les fruits et légumes, abondants dans la diète paléolithique, contiennent principalement des fibres insolubles.

Ce qui me séduit dans cette théorie c'est qu'on ne nie pas le fait que les humains soient des omnivores, que notre corps est "prévu" pour manger viande, fruits et légumes.

Les grands principes de cette alimentation.

La diète paléolithique supprime carrément deux des quatre grands groupes d'aliments, soit les produits laitiers et les céréales (dont le pain). Elle fait partie des régimes faibles en glucides (low carb). Elle ne comprend que 22 % à 40 % de glucides, ainsi que 19 % à 35 % de protéines, et 28 % à 47 % de lipides. En comparaison, l'alimentation nord-américaine typique comprend de 50 % à 60 % de glucides.

Les aliments autorisés

Toutes les viandes maigres, les volailles, les poissons et les fruits de mer, ainsi que les oeufs. Tous les fruits et les légumes pauvres en amidon. Toutes les noix et les graines (graines de tournesol, amandes, etc.).

Les aliments à consommer avec modération

Les huiles pressées à froid. Les avocats. Le thé, le café et les boissons alcoolisées. Les fruits séchés.

Les aliments à supprimer

Tous les produits céréaliers. Toutes les légumineuses. Tous les produits laitiers. Tous les produits transformés ou en conserve. Tous les légumes riches en amidon (pomme de terre, manioc, igname, etc.). Les viandes grasses. Les aliments salés. Le sucre. Les boissons gazeuses.

Je ne suis pas à franchement parler adepte ni de la cure de jus ni du régime paléolithique, mais je me suis appuyée sur ces deux expériences pour me former ma propre alimentation.

J'utilise les jus de légumes comme boisson pour m'hydrater. L'avantage de cette boisson c'est qu'elle m'apporte tous les nutriments, vitamines que contiennent les légumes dont je fais mes jus. Ainsi, je suis en grande partie nourrie et je ne souffre plus de la faim. Au moment des repas je mange selon mes besoins, ni plus, ni moins.

Je dirais que je mange de tout, sauf quelques catégories d'aliments que j'ai réduites de façon drastique mais pour autant sans les supprimer totalement.

Qu'ai-je donc décidé de réduire ?

Essentiellement le lait de vache et les produits laitiers issus du lait de vache, 
le sucre,
les boissons sucrées ou alcoolisées,
les plats préparés par l'industrie agro-alimentaire;
le pain.

Sur cette base, progressivement je prends conscience de tous les aliments qui sont mauvais pour nous, qui nous conduisent notamment à l'obésité.

Depuis le début janvier de cette anée j'ai perdu 8 kilos sans jamais avoir le sentiment de me priver, de manger mal ou difficilement. Non, il me semble que je mange simplement, normalement. De plus au niveau santé je me sens vraiment bien

Mon IMC est actuellement de 27,40. Je suis encore en surpoids mais plus en obésité, et ça, franchement ça me fait plaisir.

Mon projet est de continuer à me nourrir ainsi pour obtenir un IMC de ±25 et me glisser enfin dans la catégorie de la corpulence dite "normale", et ce de façon définitive.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité